D'autant que la crête ne fait pas le moine ni l'habit le punk et qu'il y a bien trop à vivre là maintenant. Alors tous à vos ordis, faites péter les décibelles visuelles. Le voyage c'est comme le rock : c'est tout à fond!

Ici Pérou, à vous Paris!!!



N.B. : en cliquant sur la première photo d'un article, la série s'affiche en grand à l'écran.

samedi 4 mars 2017

Pampa y Selva - Bolivie, Région Beni, Février 2017.



3 jours en pampa et en selva, dans les environs de Rurrenabaque. La pampa, à la végétation moins dense et moins haute, pour voir les animaux plus facilement. La selva, pour l'atmosphère et la beauté de la forêt amazonienne. 


Pampa!

On part avec une londonienne d'une trentaine d'années en vadrouille dans le monde, deux jeunes coréens pas plus sédentaires mais plus alcoolisés (ça n'empêche pas d'être gentils et de n'emmerder personne) et deux chiliens de 40 ans passés. Des vieux quoi. 
Bonne ambiance. Tellement bonne avec le couple de chiliens qu'on se reverra à Rurrenabaque quelques jours plus tard, pour un restau puis une terrasse et dans tous les cas pas mal de bières fraîches. Vu la chaleur nocturne. Vu la bonne ambiance. A discuter jusqu'assez tard. Résultat des courses on est invité à Puerto Montt dans le sud du Chili, une destination qui nous plairait bien pour de prochaines vacances en Amérique du sud.

Mais revenons à nos crocos.













Parmi les autres rencontres intéressantes (et photographiables avec nos téléphones) :





















































C'est le zoo à l'air libre ce río Yacuma : toucans, hérons et autres oiseaux colorés, tortues et caïmans en pagaille, singes noirs, capuccins, singes-écureuils, capivaras, dauphins roses... y'a juste à se taire et observer. Je pense à Manech mon p'tit neveu de 10 ans. Il serait comme un dingue.




Les eaux flippantes de la Pampa. Brunes, troubles, tourbées. Comme un whisky. Mais au contraire d'un bon Islay 12 ans d'âge, c'est pas sûr qu'on s'y baigne. Encore qu'avec des chaleurs pareilles, y'a guère que dans la bière qu'on ait envie d'nager. 













Ce qu'on fait. Enfin un troquet dans ce trou-à-rats!!! Trou-à-crocos plus justement mais ça sonne moins bien. Après ce périple sous une chaleur assommante, un peu de civilisation nous rafraîchit et nous requinque.








C'est Ibiza ici j'vous dis!!!
























La plage de notre hébergement, où nous attendront en soirée 2 jeunes caïmans verts partant à la chasse. Même si c'est franchement rudimentaire, on est juste heureux de dormir sur pilotis et ne pas avoir à planter la tente, vu l'affluence de bestioles. Et déjà sortir pisser la nuit s'annonce périlleux.








Après un bain à proximité de 2 dauphins roses, dans les eaux noires et pourtant plus limpides d'un affluent, on tente une pêche aux pirahnas. En vain. Par contre on prend notre dose d'adrénaline avec un grand caïman noir qui vient nous chasser de notre site. Indéniablement, il est plus gros et plus du coin que nous, donc on la joue profil bas et on file dare-dare avant que monsieur ne s'énerve.













Selva!

Cette fois on part directement de Rurrenabaque en bateau pour remonter les río Beni puis Tuichi, direction le parc national Madidi et la jungle. 











































Balade en forêt.








Réserves d'eau dans les lianes.




On mange des termites vivantes. Un max de vertus
et un p'tit goût de menthe, mais pas d'reviens-y.
































Ikea a encore du boulot en matière de salle d'eau écolo.




On s'fait notre jus de canne à sucre. A l'ancienne.
















































Résultat des courses :










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